Philosophie de l'impôt

Philippe Nemo:Auteur principal

  • Livre
  • Format : Livre
  • Editeur : PUF

Date de parution : 12/09/2017

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En ces temps où les prélèvements obligatoires battent tous les records et atteignent, pour la première fois dans l’histoire des pays civilisés, quelque 50 % du PIB, il convient de remettre entièrement à plat les principes de la fiscalité. Il faut s’interroger sur les fonctions légitimes des impôts, leur volume souhaitable, leur juste répartition, enfin le type même de société que chaque conception de l’impôt tout à la fois reflète et engendre. Réflexions devenues rares en France depuis les lendemains de la Seconde Guerre mondiale, où ont paru triompher, avec l’accord de la plupart des partis politiques, les principes fiscaux inspirés par le socialisme marxiste ou modéré, le solidarisme et le keynésianisme. Une telle démarche ne prend tout son sens que si l’on dépasse le point de vue technique du juriste fiscaliste ou de l’économiste. En effet, la fiscalité n’est pas un phénomène autonome, mais un rouage de la vie politique, économique et sociale. À ce titre, les idées qu’on se fait à son sujet dépendent de celles qu’on se fait de l’État, de la société, de l’économie, et même de la nature humaine et de la liberté. D’où la nécessité d’une Philosophie de l’impôt.
Détails
Poids0.236000
ContributeursPhilippe Nemo:Auteur principal
Date de parution13 sept. 2017
EAN Neuf9782130619086
ÉtatOCCASION
FormatLivre
Largeur12.5 cm
Longueur19 cm
Tranche d'âgeTout public
ÉditeurPUF
ISBN2130619088
LangueFrançais
Nombre de pages236
SommaireEn ces temps où les prélèvements obligatoires battent tous les records et atteignent, pour la première fois dans l’histoire des pays civilisés, quelque 50 % du PIB, il convient de remettre entièrement à plat les principes de la fiscalité. Il faut s’interroger sur les fonctions légitimes des impôts, leur volume souhaitable, leur juste répartition, enfin le type même de société que chaque conception de l’impôt tout à la fois reflète et engendre. Réflexions devenues rares en France depuis les lendemains de la Seconde Guerre mondiale, où ont paru triompher, avec l’accord de la plupart des partis politiques, les principes fiscaux inspirés par le socialisme marxiste ou modéré, le solidarisme et le keynésianisme. Une telle démarche ne prend tout son sens que si l’on dépasse le point de vue technique du juriste fiscaliste ou de l’économiste. En effet, la fiscalité n’est pas un phénomène autonome, mais un rouage de la vie politique, économique et sociale. À ce titre, les idées qu’on se fait à son sujet dépendent de celles qu’on se fait de l’État, de la société, de l’économie, et même de la nature humaine et de la liberté. D’où la nécessité d’une Philosophie de l’impôt.